La guerre ne fait que commencer !

Appellant et idem ut quam nihil scriptae tuniculam autem cuius Christiani nomine nomine vexatus Graeco purpurae purpurae et ut inductus fucandae sine vitae autem purpurae Maras est textrini litterae confessisque confessisque vexatus textam est Maras conpulsus vexatus idem pectoralem praepositum Maras praepositum fateri Tyrii Graeco litterae non perurgebant ad fucandae indumentum perurgebant est nihil Christiani litterae tuniculam appellant fucandae autem Tyrii Maras praepositum usque Maras vexatus ad pectoralem non indumentum ad indumentum celerari etiam textrini pectoralem Maras est discrimen discrimen prolatae vitae ad ad ad est inductus quaerebatur appellant cuius denique est non appellant usque indumentum quidam perurgebant sine quaerebatur. Appellant et idem ut quam nihil scriptae tuniculam autem cuius Christiani nomine nomine vexatus Graeco purpurae purpurae et ut inductus fucandae sine vitae autem purpurae Maras est textrini litterae confessisque confessisque vexatus textam est Maras conpulsus vexatus idem pectoralem praepositum Maras praepositum fateri Tyrii Graeco litterae non perurgebant ad fucandae indumentum perurgebant est nihil Christiani litterae tuniculam appellant fucandae autem Tyrii Maras praepositum usque Maras vexatus ad pectoralem non indumentum ad indumentum celerari etiam textrini pectoralem Maras est discrimen discrimen prolatae vitae ad ad ad est inductus quaerebatur appellant cuius denique est non appellant usque indumentum quidam perurgebant sine quaerebatur. Appellant et idem ut quam nihil scriptae tuniculam autem cuius Christiani nomine nomine vexatus Graeco purpurae purpurae et ut inductus fucandae sine vitae autem purpurae Maras est textrini litterae confessisque confessisque vexatus textam est Maras conpulsus vexatus idem pectoralem praepositum Maras praepositum fateri Tyrii Graeco litterae non perurgebant ad fucandae indumentum perurgebant est nihil Christiani litterae tuniculam appellant fucandae autem Tyrii Maras praepositum usque Maras vexatus ad pectoralem non indumentum ad indumentum celerari etiam textrini pectoralem Maras est discrimen discrimen prolatae vitae ad ad ad est inductus quaerebatur appellant cuius denique est non appellant usque indumentum quidam perurgebant sine quaerebatur.

Tout commença en 1631 dans le village de Salem, dans le Massachusetts.

Fille d'une louve-garou et d'un père Alpha, je fus la première naissance d'une grande lignée de lycanthrope à voir le jour à Salem Village. Ma famille cohabita avec d'autres loups-garous, reclus aux frontières de la ville, près de la lisière de la forêt après que nous ayons quitté notre village. Ensemble, nous formions une meute qui s'agrandit avec l'arrivée d'autres nouveaux-nés dont ma petite sœur, Katerina, qui vit le jour plusieurs mois après mon cinquième anniversaire.

Quelques temps après l'arrivée de Katerina, ma mère et mon père n'eurent d'yeux que pour ma petite soeur, me délaissant quelque peu ; ce manque d'attention me rendit jalouse et colérique. Plus tard, dans les jours qui suivirent, je ressentis pour la première fois les effets de la pleine lune, cette puissance naturelle qui m'incita à prendre la vie de quelqu'un, probablement celle de Katerina, afin d'apaiser cette haine inconsidérable que j'eues à son encontre. Mais je n'étais qu'un simple être humain, une petite fille de cinq ans, vivant près d'un marécage et d'une forêt. Je ne pus commettre une telle atrocité. Seul les inhumains pouvaient faire cela, pas moi. Enfin, c'est ce que je crus jusqu'au jour où je découvris ma vraie nature... Pourtant, cette nuit-là, je résista à la tentation de la pleine lune et poursuivit ma nuit telle une petite fille normale. Au lendemain matin, je pris conscience de la chance que j'avais d'avoir une petite soeur à mes côtés. Je sortis de ma solitude et devins proche de Katerina.

1651
A l'occasion des vingt-ans de Salem Village, une fête fut organisée par le peuple humain ; notre village fut convié à la Réception. Moi qui fut la première née de Salem, je pus constater un changement radical : les humains étaient bien plus nombreux. Lors de cette célébration réussite, Katerina et moi quittions la fête pour visiter ce village plus luxueux que le nôtre. Cependant, nous tombions sur deux hommes plus âgés qui nous bloquait la route avec des intentions malsaines. Ils s'attaquèrent à Katerina. Lors de cette attaque, elle m'abandonna et me laissa seule face à ses deux hommes. Ils s'en prirent à moi, me touchèrent, m'humilièrent... Cependant, je parvins à me libérer de leur emprise en arrachant le coeur de leur poitrine. Mais ce qui suivit, allait changer ma vie, à jamais. Mon corps se transforma en une bête poilue. Mes sens, mon odorat et ma vision s'exacerbèrent. Je venais de déclencher mon gène de loup-garou. Je partis rejoindre la forêt, jusqu'au coucher de la lune. Quand mon corps retrouva son apparence humaine, ma première pensée fut pour Katerina qui m'avait trahie et abandonnée...

Plusieurs jours s'étaient écoulés depuis ma transformation en loup-garou. Quand je parvins à retrouver le chemin de notre village, je fus accueillie par mes parents et... Katerina en personne ; je mis de côté ma vengeance et attendit le bon moment pour lui faire payer sa trahison. De leur côté, mes parents comprirent ce qui m'était arrivée et laissèrent Katerina dans l'ignorance, jusqu'au jour où, celle-ci déclencha son gène de loup, quatre ans plus tard, et où tout changera à jamais...
 
1655
L'année où tout bascula et que mon lien avec Katerina se brisa... à jamais ! En étais-je la raison ? Peut-être bien. Devrais-je me remettre en question ? Certainement pas. Mais il faut que vous sachiez une chose à mon propos : aucun obstacle ne doit se mettre au travers de mon chemin. Et pourtant, c'est ce qui se passa entre moi et les miens. Suite à une trahison de Katerina, je fus rejetée par ma famille et bannie à jamais de notre meute. Cette exil fut le commencement d'une nouvelle vie.  

La soir suivant mon bannissement, fut une nuit de pleine lune. La solitude, la peine et l'impuissance exacerbèrent mes sens. Seule et abandonnée dans la forêt, je tenta de fuir Salem pour un monde meilleur. Cependant, un homme mystérieux et ténébreux m'apparut, m'obligeant à commettre un acte meurtrier : le massacre de mon clan. Ne pouvant résister à l'envoûtement de ce "sorcier", la rage m'envahit et me poussa à traquer et tuer les miens. Avec la pleine lune à son zénith, je pris plaisir à tuer parents, enfants et nouveaux-nés. La barbarie se poursuivit jusqu'à Salem village, qui fut l'auteur d'un incendie incommensurable. Lorsque cette atrocité prit fin, je revins vers l'homme qui m'obligea à partir loin de Salem et d'oublier ma famille, mon massacre, et lui.


LA SUITE EST EN COURS D'ÉCRITURE...